Les beaux contes de l'Oncle Gaston

Toutes vos créations personnelles, quelques jeux, le hors-sujet...

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Gaston Lagaffe
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Re: Les beaux contes de l'Oncle Gaston

Message par Gaston Lagaffe »

C’est la Saint-Valentin, la fête de l’amour et justement nous allons voir un duo célèbre de la BD qui s’adore !

Du chocolat explosif

Dans son salon, Corinne préparait une boite de chocolat.
-Les lecteurs trouvent que je suis méchante avec Jeannot. Pourtant, je juge que je fais tout pour être une bonne amie alors qu’il ne le mérite pas. Tenez, l’an dernier mon oncle est mort dans un accident d’auto et il ne m’a pas souhaité ses sympathiques ! Bon je ne lui ai pas dit que j’avais un oncle décédé, mais tout de même ce n’est pas une raison !
Elle remplissait une boite rouge en forme de cœur avec du chocolat et elle ajouta un réveil-matin qui faisait un gros tic tac.
-Le pauvre Jeannot a de la difficulté à se réveiller le matin. Je suis une bonne amie en ajoutant ce cadeau !

Xxx
Pendant ce temps, dans une baraque minable, un criminel libéré sous condition préparait une boite de chocolat absolument identique à elle de Corinne, mais ce n’était pas du chocolat qu’il mettait dans la boite.
-Un dernier petit réglage…et voilà la bombe est prête ! Dit Skip.
Il mit délicatement la bombe dans la boite et régla le mécanisme.
-Voilà cela va exploser lorsque quelqu’un va l’ouvrir.
-Dit Skip pourquoi t’as pas acheté le chocolat en prime ? C’est bon du chocolat. Dit Aldo.
-Tu veux une claque ? Bon, tu vas apporter cette boite chez Gil Jourdan.
-Pourquoi ?
-Il faut vraiment que je t’explique. À cause de lui on a été en taule durant 5 ans. Je veux me venger.
-Tu sais cela ne me dérange pas la prison. Là-bas j’ai moins peur de me faire capturer par les flics !
Skip répondit en lui donnant une bonne claque.
-Va juste porter cette boite dans la boite aux lettres de Gil Jourdan et arrête de poser de dire des conneries !
-La boite dans la boite…Oui je comprends.

Xxx
Aldo marcha dans la rue avec son paquet.
-N’empêche si Skip me trouve idiot, je me demande pourquoi il me demande toujours de faire le travail.
Il vit au coin de la rue un policier et il paniqua un peu.
-Je vais mettre la boite dans ma poche juste au cas où. Il pensa.
Il le fit, mais ne remarqua pas que la boite tombât de sa poche pour atterrir dans un banc de neige.

Xxx
Jeannot attendait Corinne au coin de la rue.
-Je me demande ce qu’elle me veut.
-Me voilà Jeannot! J’ai un cadeau pour toi.
Elle lui montra la boite.
-Des chocolats rien que pour moi ?! Attends c’est un piège !
-Non Jeannot. Je veux m’excuser pour toutes les farces que je t’ai faites.
-Vraiment ? Alors…
Il prit la boite et alla ouvrir la boite lorsqu’il entendit un tic tac.
-Tu as mis une bombe dans la boite !
-Mais non Jeannot. Je ne ferais jamais une chose pareille.
-Reprends ta boite, je n’en veux pas !
Il jeta la boite par terre et il cria si fort qu’il attira l’attention de l’agent de police.
-Que ce passe-t-il ici ? Encore toi rascal ! Pourquoi fait-tu tout ce bouquant ?!
-Il ne veut pas de la boite de saint-valentin que je lui ai offert ? Expliqua Corinne.
-Comment tu refuse le cadeau que t’offre cette gentille fille ? Je vais t’apprendre la gentillesse, en prison !
Il prit Jeannot par son manteau.
-Attendez monsieur l’agent, il y a la boite ici. Dit Corinne en la ramassant.
-Très bien.
Il la place de force dans les mains de Jeannot.
-Tu auras la boite que tu le veuille ou non !
-C’est pas juste ! Pleura Jeannot.
Lorsqu’ils tournèrent la rue, Jeannot lança sur le banc de neige. Corinne entendit le bruit de la chute.
-Et voilà je voulais juste lui faire plaisir et il s’est mit en prison. Vous voyez bien cher lecteur que tous les malheurs qui lui arrive son sa propre faute !
Elle alla ramasser la boite et partit. Une minute plus tard, Aldo revient.
-Ouf la boite est là ! Skip m’aurait tué s’il avait apprit que je l’avais perdu.

Xxx
Plus tard, Gil Jourdan entra dans son agence et vit son adjoint en train de manger du chocolat.
-Hé patron un admirateur secret nous a envoyé une boite de chocolat pour la saint-valentin et le plus drôle est qu’il y avait un réveil en prime.
Gil examina le réveil.
-Il fait un bruit qui ressemble à une bombe…J’imagine que c’est une farce stupide d’un gamin. Tout de même, tu aurais du faire plus attention, il y a même pas d’adresse sur la boite !
-Voyons patron vous voyez des complots partout ! Et puis ça aurait fait une très bonne publicité pour l’agence. Une explosion cela fait toujours du bruit. HAHAHAHAHA !

Xxx
Corinne était de retour chez elle.
-Puisque Jeannot ne veut pas des chocolats, je vais les manger.
Elle avança sa main sur le couvert et….pouf ! Elle disparue et à sa place ce tenait un homme adulte.
-Oû suis-je à présent ? Se demanda Dilat Larat.

Xxx
Corinne se retrouva elle aussi dans un décor qui lui était étrangère.
-Et voilà comme je vous l’ai dit, placer cette baguette sur la personne de votre choix et elle se changera d’espace-temps avec une autre personne. Dit un magicien.
-C’est très bien je vous l’achète ! Dit Iznogoud.
Pendant que le vizir régla la facture, Corinne regarda autour d’elle.
-Dits je suis où au juste. Monsieur, monsieur !
Iznogoud ne prêta pas attention à la petite et examina sa baguette.
-Maintenant j’ai juste à me retrouver seul avec le calife et….
-Et monsieur je vous parle ! C’est quoi ce décor ? Je veux des explications !
-En voilà assez ! Gardes !
Deux gardes arrivèrent dans la chambre d’Iznogoud.
-Mettez-moi cette petite peste dans une cellule très loin de l’entré et jeter la clé !
-Eh vous avez pas le droit !
Iznogoud remarqua la boite qui était toujours ente les mains de Corinne. Il lui arracha des mains.
-C’est quoi ça ?
-N’y touchez pas ce sont mes chocolats !
-Une boite de chocolats ! Parfait !
Les gardes partirent enfermer Corinne. Le grand vizir était maintenant seul dans sa chambre.
-Je vais manger un peu de chocolat avant d’aller voir ce gros balourd de calife. Juste un bout….Ah comme j’explose de plaisir à l’idée que je vais être enfin calife !
Et Iznogoud ouvrit la boite et effectivement il explosa.

La fin

Ben quoi vous penserez que c’était Corinne qui allait recevoir la bombe ? Elle est méchante, mais cela reste une enfant ! Je vais tout de même pas tuer une fillette ! L’important est qu’elle ne peut plus embêter Jeannot.

Allez bonne saint-valentin tout le monde !
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Gaston Lagaffe
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Re: Les beaux contes de l'Oncle Gaston

Message par Gaston Lagaffe »

C’est le mois de mars. Nouveau mois, nouveau conte ! Cette fois-ci je rends hommage à un de mes auteurs de BD préférés.

Bougret et Charolles mènent l’enquête !

Charolles, le fidèle assistant du commissaire Bougret, se tenait derrière son bureau.
-Alors là je peux dire que mon patron est vraiment génial, quel type ! Il a pas son pareil pour démasquer les criminels. D’ailleurs, pour le montrer je vais raconter ce qui s’est passé le mois dernier dans un hôtel qui recevait des scientifiques venues de partout pour un colloque.

Xxx
Charolles regardait le corps qu’on avait trouvé inerte dans une des chambres de l’hôtel.
-Et ben il est bien mort, regarder sa peau bleu !
-Le maitre d’hôtel m’a dit que client a été trouvé comme ça 5 minutes après qu’il soit rentré dans sa chambre. Dit le commissaire Bougret. Cela s’est passé il y a 30 minutes. Tu sait-ce que cela veut dire ?
-Euh non patron désolé je vois pas.
-Si la victime est déjà complètement bleu alors que le meurtre c’est passé il y a moins d’une heure, la seule explication logique est que le meurtre a été très rapide vu que le changement de coloration de peau a été rapide !
-Mon dieu patron vous être génial !
-C’est le métier mon petit ! Quelles sont les autres informations sur la victime ?
-Il s’appelle Tryphon Tournesol et il était l’invité d’honneur du colloque.
-A-t-on trouvé des indices ?
-Juste une machine étrange avec l’étiquette ‘propriété de Zorglub’ et un message.
-Lit-là.
-‘Tout ceux qui refuse d’aider Zorglub subiront le même sort !’ Et ben c’est clair et précis.
-Hmmmm. A-t-on des suspects ?
-Les deux voisins de chambre.
-Bien convoque les pour demain matin à la première heure !

Xxx
Le lendemain matin, Charolles faisait les yeux doux à la secrétaire.
-Vos yeux sont si…hé attendez une minute. Quel est l’intérêt de ce conte ? Je veux dire une bonne partie de l’humour de Gotlib repose sur le dessin. Comment faire rire les lecteurs sans dessins ? Moi je trouve le texte pas très marrant et si les lecteurs sont obligés d’imaginer des dessins hilarants pour rigoler, je trouve que l’auteur est juste paresseux et parlant de parasse pourquoi il écrit sur les personnages des autres ? Il est pas capable d’en inventer ?
Soudainement, un morceau du plafond tomba sur la tête de Charolles se qui lui fit bien mal. Il était assommé, la tête sur le bureau de la secrétaire. C’est à ce moment là que le commissaire entra.
-Allons Charolles, ce n’est pas le moment d’être paresseux et de dormir, nous avons deux suspects à interrogé.
-Désolé patron.

Xxx
Les deux policiers étaient maintenant dans le bureau du commissaire, le commissaire bien assis derrière le bureau et Charolles était debout à coté de la porte.
-Faites entrez le premier suspect. Dit le commissaire.
-Philip Mortimer ! Cria Charolles.
Un homme d’âge mur entra dans la pièce à travers la porte en utilisant ses deux pieds. On peut voir à son allure qu’il est un scientifique. Il regarde Charolles et ensuite le commissaire Bougret. Il dévisage les deux hommes pendant quelques secondes, puis, d’un seul geste, il mit sa main sur la chaise situé devant le bureau et s’assit, bien en face du commissaire.
-Vous être bien Philip Mortimer, le scientifique ?
Mortimer ouvrit la bouche et des paroles en sortirent.
-Ceci est exact. Dit-il. Au faite, puis-je utiliser ma pipe ? Je vois que vous en fumer une alors je pense que moi aussi je pourrais…
-Bien sur aucun problème.
Mortimer mit sa main dans sa poche et en sortit une pipe. Il mit ensuite son autre main dans son autre proche et il en sortit du tabac. Il mit du tabac dans la pipe. Ensuite, il demanda du feu au commissaire.
-Auriez-vous du feu ?
Le commissaire lui en donna. Mortimer put alors allumer sa pipe qu’il fuma avec extase.
-Dites je trouve que cela devient vachement longtemps. Pensa Charolles en regardant sa montre. C’est que j’ai une partie de belotte à 16h, moi !
-Monsieur Mortimer, où étiez-vous hier lorsque le meurtre a été commis ?
Le professeur Mortimer arrêta de fumer sa pipe. Son visage afficha un air sinistre qui montrait qu’il était contrarié qu’on le soupçonne de meurtre. Non seulement parce qu’il s’agissait d’un collège qu’il estimait beaucoup, mais aussi parce qu’il avait aidé la justice à plusieurs reprises.
-Commissaire, je suis contrarié qu’on me soupçonne de meurtre. Non seulement parce qu’il s’agit d’un collège que j’estime beaucoup, mais aussi parce que j’ai aidé justice à plusieurs reprises.
-Ne nous fâchons pas, je veux juste savoir votre alibi.
Mortimer soupira, sachons au fond de lui qu’il devrait garder son calme et que l’inspecteur ne faisait que son métier. Il prit une grande respiration.
-J’étais dans ma chambre en train de regarder mes notes. Dit-il en parlant avec des mots de la langue française. Est-ce tout ce que vous voulez savoir commissaire?
-Oui ça sera tout.
Mortimer est content, mais un peu frustré qu’on l’est dérangé pour un moment aussi court. Il se leva d’un bond du fauteuil et blablalbla…
-Je sais pas pourquoi mais tout d’un coup j’ai envie de bailler. Pensa Charolles en baillant.

Xxx
-Bien le professeur Mortimer est parti, fait entrez le prochain suspect Charolles.
-Tout de suite patron….On demande Zorglub!
Charolles eut la berlue lorsqu’il vit le nom.
-Hé c’est rigolo….Le gars il a juste un nom! Et c’est marrant ça me fait penser au savon et au dentifrice que j’utilise !
Zorglub entra en poussant Charolles qui était trop près de la porte.
-Que ce soit clair, le grand Zorglub n’a pas de temps à perdre alors je veux que ça soit vite fait !
-Aucun problème. Je veux juste savoir ce que vous faisiez hier après-midi lorsqu’un de vos estimé collègue a été retrouvé assassiné.
-Zorglub n’a pas d’estimé collègue ! Zorglub est au-dessus d’eux ! Et Zorglub était tranquillement en train de regarder la télé dans sa chambre.
Le commissaire Bougret regarda Zorglub dans les yeux.
-Hé dites quelques choses, le grand Zorglub doit….
-Je vous arrête pour meurtre !
Zorglub rigola.
-Pauvre imbécile, vous ne savez même pas ce qui s’est vraiment passé et vous allez le découvrir mainte…
Zorglub avait mit la main dans sa poche et il remarqua qu’elle était vide.
-Au non la zorglonde ! Je l’ai perdu ! Enfer et damnation, je suis fais !
-Ouais c’est ça, tu seras moins perdu en prison ! Dit Charolles en lui passant les menottes.

Xxx
Plus tard, Charolles se retrouva seul avec son bien aimé commissaire.
-Dit patron, vous pourriez m’expliquer comment vous avez deviné ? Moi j’ai pas trop compris.
-C’est simple mon petit. Souviens toi, il a été établi que le crime a été commis de manière rapide, non ?
-C’est exact, patron.
-Et la lettre qu’on a trouvée était claire et précis.
-Oui, mais je vois toujours pas….
-Et ben c’est simple. Je sais pas si tu as remarqué, mais le premier suspect était comme dire un peu lent….
-C’est vrai que j’avais l’impression qu’il marchait au ralentit.
-Et ben s’il est aussi lent, il n’a pas pu tuer et écrire la lettre. Le coupable était donc le deuxième qui était rapide et précis.
Charolles réfléchit pendant quelques secondes.
-Bon sang, mais c’est bien sur ! S’éclama-t-il.
-Maintenant en retour vers de nouvelles aventures ! Dit Bougret.
-Le patron tout de même, quel type !

La fin
Ne vous en faites pas, Zorglub expliqua ce qui était arrivé au professeur Tournesol qui est redevenu normal. Et du coup Zorglub a été relâché de prison parce qu’il ne peut pas avoir commis un meurtre si le mort est vivant. C’est tellement logique !
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Re: Les beaux contes de l'Oncle Gaston

Message par Gaston Lagaffe »

Vous savez, je suis un très gros fan de l’œuvre de Macherot. Je suis tellement fan que j’ai imaginé une grande saga qui je l’espère va durer pour le reste de l’année !

Le piège diabolique d’Anthracite – Premier chapitre d’un récit qui va durer au minimum une bonne centaine

Anthracite le rat marchait dans la forêt avec son comparse le duc.
-Je suis bien content de mon plan. Chlorophylle ne se doute pas que je suis revenu ici. Il va tomber dans mon piège.
-Justement je voudrais savoir ce que vous allez faire. Vous ne m’avez même pas montré le contenu de la charrette que vous avez caché dans la grotte l’autre jour.
-Et bien je pense qu’il est temps que je vous explique mon plan. Vous allez voir, il est extraordinaire. Premièrement nous allons….
Anthracite n’eut pas le temps de terminer sa phrase, une bande d’animaux carnivores leur sautèrent dessus et les assomma.

Xxx
Plus tard, les carnivores digèrent leur repas.
-Tu as eu une bonne idée en nous faisant installer ici, Croque Monsieur ! Dit un de ses amis.
-Je sais. Dit-il. Sans violon ou femme étrange qui frappe tout le temps, je suis libre de manger qui je veux !

Xxx
Ah bravo maintenant je fais quoi pour ma saga si le grand méchant est mort !? Salaud de carnivores, ils enlèvent le pain de la bouche des pauvres créateurs comme moi !

La fin malheureusement....
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Re: Les beaux contes de l'Oncle Gaston

Message par Vito »

Gaston Lagaffe a écrit : ven. 1 avr. 2022 00:36 Vous savez, je suis un très gros fan de l’œuvre de Macherot. Je suis tellement fan que j’ai imaginé une grande saga qui je l’espère va durer pour le reste de l’année !
Youpi !
(Je suis également un grand fan de l'œuvre de Macherot... je suivrai votre saga avec ferveur).

...

C'est fait.
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