11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Un super tirage de luxe grand format pour le gagnant

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Trichoco
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11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par Trichoco »

La couverture :

Image

Le synopsis :

Qu'allait donc faire Ororéa dans cette galère ? Il est clair que se
retrouver coincée pendant des heures dans un vieux combi Volkswagen
rouge brinquebalant sur les routes de l'ouest de la France, en direction
de la presqu'île de Farzac en novembre semble au premier abord assez peu
excitant, d'autant que de ses quatre compagnons de voyage tous ne lui
sont pas des plus agréables.

Mais voilà, lorsqu'on est encore novice dans la carrière de photographe
professionnelle et qu’on rentre d’un voyage au Sénégal les poches vides,
il faut aussi accepter des emplois alimentaires telle cette séance de
prises de vue urgente destinées aux pages maillots de bain de la
prochaine édition "été" du fameux catalogue de vente par correspondance
"ACME France". Bien sûr, Ororéa n'a été engagée que pour être
l'assistante de Tony, un soi-disant photographe branché qui se prend
pour un grand artiste mais qui s'avère en réalité incapable ne serait-ce
que de changer une pellicule. Ce qui ne serait pas si grave si le
bellâtre en question n'était pas un odieux macho, vautré sur le siège
arrière entre Josie, mannequin trentenaire qui se demande bien ce
qu’elle fait là et Zaza, une débutante naïve qui semble bien la seule à
être réceptive aux vantardises de son voisin. Ororéa, elle, est
installée à l’avant avec Monsieur Marcel, chauffeur taiseux qui ne pense
qu’à sa retraite (dans six mois !) ce qui lui convient parfaitement.

Un panneau annonce enfin Farzac-les-flôts à dix kilomètres : la
camionnette s’engage alors sur une départementale traversant une longue
bande marécageuse quelque part au bord de l’Atlantique. Le fluet soleil
automnal est pourtant vite chassé par de fortes bourrasques annonçant
l’imminence d’une tempête, laissant la place à de gros nuages noirs
suivit d’une pluie battante qui réduit soudain la visibilité à seulement
quelques mètres. Avant même d’atteindre les premières habitations, une
frêle silhouette blanche traverse rapidement la route, Marcel parvient
cependant à l’éviter en freinant brusquement sur la chaussée glissante.
Inquiets, avec Ororéa ils sortent vérifier s’ils n’ont pas blessé
quelqu’un, mais ne trouvent rien, ni personne. Remontant dans le van
trempés jusqu’aux os sous les quolibets de Tony, ils reprennent leur
route entrant finalement dans Farzac.

Ils localisent facilement l’Hôtel de la Plage - qui fait aussi
bar-restaurant – où ils sont accueillis chaleureusement par la gérante,
Madame Folgoisse. Ororéa toujours trempée est néanmoins obligée en tant
qu’assistante de s’occuper de tous les bagages et du matériel, avec un
coup de main bienvenu de Marcel, alors que Tony se pavane devant
l’assistance constituée de quelques habitués du bar et des deux
mannequins fatiguées.

Comme c’est la saison morte, chacun dispose de sa propre chambre. Une
fois douchée et changée, Ororéa descend au restaurant où elle retrouve
ses compagnons attablés sans Monsieur Marcel, qui préfère le bar,
pendant qu’à l’extérieur, la tempête continue à faire rage, bien que les
locaux ne semblent pas vraiment y prêter attention. Une fois installée,
elle remarque que Zaza commence à dodeliner à force de vider
consciencieusement le verre de vin que Tony s’applique à lui remplir,
tout en racontant ses sornettes. Josie fait plusieurs fois remarquer à
la jeune femme qu’elle devrait être plus prudente avec l’alcool mais
celle-ci s’emporte et envoie paître son aînée qui, vexée, quitte la
table et monte se coucher. Exténuée par le voyage et la pluie, Ororéa la
suit peu après. Dehors, les bourrasques de vent redoublent de violence.

Au milieu de la nuit, une fois le calme revenu, un son étrange au loin,
puis un sanglot étouffé ne parviennent ni l’un ni l’autre à vraiment la
réveiller.

Le lendemain matin, sur la plage nettoyée par la marée et par la
tempête, Ororéa se retrouve seule avec les deux modèles, transies de
froid en maillot de bains, tentant de simuler une ambiance estivale pour
l’objectif avec pour seul décor un ciel manifestement hivernal.
Lorsqu’elle a frappé à sa porte pour le réveiller, Tony lui a ordonné de
commencer sans lui, qu’il les rejoindrait peut-être plus tard, qu’elle
n’a qu’à se débrouiller. L’endroit est désert, le sable immaculé à
l’exception des empreintes toutes fraîches du trio de jeunes femmes. En
reculant pour avoir du champ, Ororéa découvre d’autres traces :
quelqu’un est manifestement allé droit dans la mer récemment avec ses
chaussures et n’en est visiblement pas ressorti.

Mais voilà qu’un drame se joue : Zaza, qui jusque-là est parvenu à
contenir sa détresse, éclate en sanglots et tombe à genoux dans le
sable. Pressée par ses deux compagnes, elle leur avoue qu’elle ne se
souvient pas vraiment de la soirée mais qu’elle s’est réveillée encore
avinée au milieu de la nuit dans le lit de Tony qui ronflait à côté
d’elle, elle s’est éclipsée discrètement sans le réveiller pour regagner
son propre lit. Aujourd’hui, elle se sent stupide, honteuse et salie.
Elle s’en veut de ne pas avoir écouté Josie et d’être tombée si bêtement
dans un piège aussi éculé. Le sang d’Ororéa ne fait qu’un tour, elle
remonte alors vers l’hôtel d’un pas décidé laissant les deux autres en
plan avec le matériel.

Elle trouve Tony au bar, en train de se vanter de ses exploits auprès de
quelques matinaux et lui assène ses quatre vérités. L’autre lui rétorque
que ça ne la regarde pas et que de toute façon, c’est « entre adultes
consentants » et que si Zaza n’est pas contente, elle n’a qu’a porter
plainte. Le ton monte, on sent bien que Tony va finir par s’en prendre
physiquement à Ororéa qui n’a peur de rien, même si son antagoniste fait
une bonne tête de plus qu’elle. Monsieur Marcel qui était installé au
bar pour lire son habituel journal sportif s’interpose, mettant fin à
l’altercation. Tony ordonne à Ororéa de retourner à la plage afin de
terminer la séance photo et qu’ils puissent repartir pour Paris en début
d’après-midi, ce qu’elle fait en fulminant.

En fin de matinée, lorsque les trois jeunes femmes rentrent à l’hôtel,
Madame Folgoisse leur apprend que la route est coupée suite à un
effondrement de la chaussée causé par la violence des vagues : les voilà
coincées sur la presqu'île pour encore au moins deux jours car la
tempête a littéralement transformé la petite station balnéaire en île à
cause des inondations dans les marais… Un hurlement soudain, une femme
apparaît devant la porte, très inquiète : l’oncle de Madame Folgoisse a
disparu pendant la nuit alors qu’il a 90 ans et ne se déplace
normalement qu’en fauteuil roulant… Les deux gendarmes du cru sont
appelés à la rescousse ! Se souvenant des étranges empreintes à la
plage, les trois jeunes femmes les y accompagnent : peine perdue, le
vieillard reste introuvable. La maréchaussée suspecte d’hors et déjà un
suicide, car il est bien connu que la tempête, ça porte sur le ciboulot
: d’ailleurs un pêcheur a lui aussi disparu semble-t-il, a-t’on idée de
faire une balade en barque pendant une telle nuit ?

De retour à l’hôtel, Ororéa, Josie et Zaza décident de tuer le temps en
visitant Farzac, après un rapide repas, histoire d’éviter une énième
confrontation avec Tony qui rage d’être obligé de rester « coincé chez
les ploucs » alors qu’il a « tellement à faire ». Si la petite ville
momentanément coupée du monde doit présenter une parfaite image de carte
postale à la belle saison avec ses milliers de touristes en goguette et
ses trois plages bondées, elle présente un visage bien plus terne et
sinistre l'hiver, village de pécheurs et de retraités comptant moins de
600 âmes … Le trio vagabonde et se perd dans le labyrinthe des rues
désertes aux maisons sans étages, vides de leurs habitants pour les six
mois à venir.

Elles finissent par arriver à l’entrée du fort Vauban qui surplombe la
plage où elles ont travaillé plus tôt. Il a servi de fortification aux
Allemands pendant la guerre, trente ans plus tôt et aujourd’hui, il est
en ruine plus ou moins. Josie aperçoit une drôle de petite silhouette
fugace sur les remparts, aussi les filles décident-elles d’aller
explorer : elles n’y trouvent cependant personne.

Retour à l’hôtel où Tony, toujours installé au bar, ne peut s’empêcher
de laisser libre cours à sa misogynie naturelle, la bière aidant,
proférant au passage quelques plaisanteries racistes envers les origines
polynésiennes d’Ororéa. Du coup, les filles font bloc et décident de
l’ignorer totalement et définitivement. Après le souper, elles font une
promenade jusqu’à la plage et croient entrevoir à nouveau la petite
silhouette blanche qu’elles tentent en vain de rattraper dans le sombre
dédale des ruelles. Vraiment, d’étranges choses se passent par ici.

Seconde nuit, Ororéa verrouille sa porte, quelqu’un tente de l’ouvrir
pendant la nuit (c’est certainement Tony). Plus tard, elle est à nouveau
réveillée par l’étrange son : cette fois elle arrive à déterminer que ça
ressemble au bruit du vent sur une mélodie triste. Sauf qu’il n’y en a
pas un souffle cette nuit. Elle se rendort.

Au matin, on annonce une nouvelle disparition : Monsieur Alvaro, le
buraliste. Retour des deux gendarmes qui ne trouvent toujours pas
d’autre explication qu’une épidémie de fugues : après tout en France, on
est libre de disparaître si on le veut, hein. De son côté, Ororéa se
demande si un dangereux meurtrier ne se cacherait pas dans le fort
Vauban, quelqu’un de petite taille, un nain peut-être ? Zaza lui fait
remarquer qu’il y a peut-être un monstre marin qui attire les gens dans
la mer avec son chant pour les dévorer. Dubitative, Josie rétorque que
le monstre - ou la sirène ? - doit être quelque peu sélectif au niveau
gastronomique vu qu’il n’a guère su profiter des nombreuses occasions où
il – ou elle ? - aurait pu s’attaquer à l’une d’entre elles. D’un commun
accord, les jeunes femmes décident qu’il faut enquêter sérieusement sur
les disparus pour trouver un point commun qui pourrait les aider.

Au cours de leur journée de recherche, les enquêtrices apprennent que
l’oncle de Madame Folgoisse, Monsieur Alvaro, le pêcheur perdu pendant
la tempête ainsi que deux dames qui semblent elles aussi avoir disparu
depuis hier ont en commun d’avoir un certain âge, d’être natifs de
Farzac et de ne pas être marié, ni d’avoir d’enfants apparemment, ce qui
somme toute n’a rien d’extraordinaire, spécialement pour motiver un
meurtrier. Et encore plus, pour exciter les papilles gustatives d’un
monstre marin mélomane.

Ororéa leur propose d’établir une sorte de piège pour tenter d’attraper
l’enfant ou qui que ce soit. Une fois la nuit venue, chacune d’entre
elles ira se poster à l’un des trois passages possibles du fort vers le
centre-ville : la plage au sud, les rochers au nord et l’entrée à l’est
(la mer étant à l’ouest). Mais avant ça, elles doivent se procurer
chacune un sifflet qui permettra ainsi à celle qui verra la cible la
première d’avertir les autres qui pourront ainsi accourir vers elle.
Assez peu rassurées, les deux mannequins acceptent.

Le soir, c’est sous l’éclairage municipal électrique discret et
aléatoire que chacune se trouve un poste d’observation adéquat : Josie a
vue sur la plage, Zaza sur l’entrée et Ororéa sur les rochers. Au bout
d’un quart d’heure, elles sont sans le savoir à l’unisson pour
déterminer que ce n’était peut-être pas une si bonne idée. D’ailleurs,
tapis dans l’ombre, Tony qui n’a pas renoncé à se venger d’Ororéa, la
surveille discrètement, attendant son heure. Il ne repère pas la petite
silhouette pâle qui semble l’observer, lui.

Soudain, une petite tache blanche apparaît sur les rochers, Ororéa,
tremblante de peur et d’excitation parvient finalement à siffler et se
lance à sa poursuite sans autre arme que son appareil photo. Elle se rue
dans la nuit sur la voie qui mène à la Pointe du Bout du Monde, la jetée
nord de la presqu’île, espérant que Josie et Zaza sont derrière elle.

Ororéa poursuit la petite silhouette sur la jetée jusqu’au fanal, mais,
parvenue au bout, elle constate qu’il n’y a personne. Alors qu’elle
observe l’eau noire pour voir si quelqu’un s’y est jeté, Tony arrive à
son tour derrière elle, lui coupant toute retraite et la menace, lui
promettant que cette fois, ils vont régler leur compte tous les deux et
que personne ne s’interposera… Quand soudain une ombre gigantesque se
précise derrière l’homme qui sentant la présence se retourne et hurle
d’épouvante : il est soulevé et jeté au loin dans la mer comme une
poupée de chiffon, son hurlement s’éteignant dans un grand « plouf ! »
au large.

Paralysée par la terreur, Ororéa se retrouve seule face à la sombre
présence floue, s’attendant au pire. Cependant, elle ressent soudain
qu’on l’invite doucement à ne pas avoir peur et à garder les yeux
fermés. Un autre message télépathique l’invite à les ouvrir et elle se
trouve face à face avec ce qui lui semble être un enfant dont le visage
est caché par un étrange masque sans personnalité. L’être lui donne la
main et la communication entre eux se fait plus claire : il n’est pas un
monstre en quête de casse-croûte, il appartient en réalité à la première
espèce intelligente apparue sur la Terre, il y a bien longtemps, ceux
qui peuplent les légendes et le folklore des gens de mer depuis des
lustres malgré leur extrême discrétion. Ils ont vécu une longue aube de
félicité avant l’apparition des géants vertébrés et ont appris à s’en
défier en perfectionnant leur sens naturel du camouflage.

L’apparition de l’homme a été pour eux un objet de surprise et de
fascination : une autre espèce, plus jeune, physiologiquement différente
de la leur, mais dotée elle aussi de la conscience et développant une
culture ! Cependant, lucides face aux trop grandes différences séparant
les deux espèces, les premier-nés décidèrent de ne pas se dévoiler aux
yeux de l’humanité, préférant se cantonner aux grands fonds des océans,
leur habitat naturel.

Certains d’entre eux pourtant se mêlèrent aux humains en usant de leur
aptitude au camouflage pour prendre discrètement leur apparence afin de
les observer et partager leur existence. Ceux-là dont le temps de vie
est infiniment plus long, finirent par oublier leur essence originelle
et poursuivirent une existence tranquille au milieu des hommes mais
toujours proche de la mer, passant d’une identité à une autre sans même
s’en rendre compte.

Aujourd’hui, l’océan les rappelle par la voix de celui qui tient la main
d’Ororéa car les guerres, l’industrialisation de la pêche, la pollution,
les marées noires, le plastique, le nucléaire… Tous ces fléaux humains
qui les mettent en danger les ont finalement décidés à quitter la Terre,
ils rappellent donc à eux tous leurs semblables pour leur grande
migration.

« Vers où ? » demande Ororéa. « Loin, très loin. Mais peut-être la
graine de notre retour est-elle plantée dans ta conscience ? ». Pensant
soudain à Tony : « Que lui as-tu fait ? ». « Je n’aurais pas dû
intervenir selon l’étique propre à mon espèce, mais j’ai lu en lui une
telle haine mêlée de concupiscence envers toi, que j’ai décidé de te
protéger. Les monstres ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Mais
rassure-toi, il en sera seulement quit d’une heure de brasse pour
retrouver le rivage. Je vais maintenant te dire adieu car j’ai fini ma
mission pour cette fois, tu dois à nouveau fermer les yeux… ».

Ororéa se réveille alors dans son lit, débottée mais toujours plus ou
moins habillée. Une fois sortie de sa chambre, Josie et Zaza lui
racontent qu’elles l’ont trouvée complètement hébétée devant la jetée et
qu’elles ont pratiquement du la porter jusqu’à l’hôtel où elles l’ont
couché. Mais bonne nouvelle, la voie est ouverte, l’équipe va prendre la
route pour rentrer sur Paris dans une heure, le temps d’avaler un rapide
petit-déjeuner. Comme la voie est libre, le quotidien local a été livré:
officiellement, une demi-douzaine de personnes sont portées disparues à
Farzac, certainement emportées par la tempête. Ororéa reste pensive,
essayant de se souvenir… Mais rien. D’ailleurs tout le monde semble
avoir oublié, y compris Madame Folgoisse. Le regard de la jeune
photographe se pose alors sur un court article annonçant qu’une nouvelle
substance hyper radioactive est actuellement à l’étude dans une centrale
nucléaire quelque part en Bretagne…

C’est donc l’heure du départ, Monsieur Marcel et Ororéa rangent le
matériel dans le coffre du combi Volkswagen quand apparaît Tony, l’air
misérable et inquiet, les yeux cachés derrière une paire de lunettes
noires. Alors qu’il s’apprête à s’installer à l’arrière du van, Zaza lui
intime l’ordre de monter devant, prétextant que la place est déjà
réservée. Il hésite un instant, puis, de guerre lasse, s’installe à la «
place du mort », à l’avant. Quant à Ororéa, elle monte derrière avec ses
nouvelles amies Josie et Zaza.

Alors que le van traverse le marais en sens inverse, Ororéa annonce à
Monsieur Marcel qu’il devra la laisser à la gare de Poitiers car elle
doit se rendre en Bretagne, elle viendra chercher son chèque à l’agence
quand elle rentrera. Sa dernière pensée : « Il faut que j’écrive aux
garçons pour qu’ils me rejoignent là-bas, ça peut vraiment les
intéresser… »
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Pigling-Bland
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Re: 11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par Pigling-Bland »

Le retour d'Ororea st toujours un plaisir.
Le synopsis laisse entrevoir une histoire de longue haleine et la possibilité de nombreuses surprises... évidemment non, dévoilées dans le synopsis...
Décidément les auteurs de ces projets se sont amusé à nous torturer...
Membre de la team Gil Jourdan
Désolé madame, je ne peins plus que les natures mortes ! Qu'on vous assassine, et c'est chose faite !
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Trichoco
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Re: 11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par Trichoco »

Le sondage est lancé!
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Re: 11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par Trichoco »

Je mets 4 à ce très beau projet!
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Gaston Lagaffe
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Re: 11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par Gaston Lagaffe »

Désolé pour la personne qui a eu la bonne idée de ramener Ororéa, mais jusqu'à présent je n'ai pas été capable de finir de lire le résumé tellement le scénario ne m'emballe pas. :(
Team Astérix
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Pigling-Bland
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Re: 11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par Pigling-Bland »

Gaston Lagaffe a écrit : sam. 19 sept. 2020 00:01 Désolé pour la personne qui a eu la bonne idée de ramener Ororéa, mais jusqu'à présent je n'ai pas été capable de finir de lire le résumé tellement le scénario ne m'emballe pas. :(
J'ai tout lu, mais c'est vrai qu'un texte plus condensé insistant plus sur les points de tension de l'histoire aurait bonifié, je pense, l'impression générale.
Membre de la team Gil Jourdan
Désolé madame, je ne peins plus que les natures mortes ! Qu'on vous assassine, et c'est chose faite !
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cosmikjaxx
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citation : Mille bombes !! Mais qu'est-ce que c'est que ce machin ?
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Re: 11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par cosmikjaxx »

Tout ça ne me semble qu'une piètre excuse pour dessiner des jeunes filles en maillot de bain.
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Zig Homard
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Re: 11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par Zig Homard »

cosmikjaxx a écrit : jeu. 15 oct. 2020 14:15 Tout ça ne me semble qu'une piètre excuse pour dessiner des jeunes filles en maillot de bain.
:ok: :shock:
Λ - (Poly-censuré par l'un ou l'autre admin !!) " _ _ . . . ! " - Dissident, il va sans dire...
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Trichoco
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Re: 11 - Ororéa - L'Appel de l'océan

Message par Trichoco »

Ce projet, avec 2,6 de moyenne pour 9 votes, ne rencontre pas son public!
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