CDF - Tour 2 - Match 39 - Spécial prédateurs

[heijingling]

les films de John Ford, pas terrible.

ARGL....

[Trichoco]

Pas lu ce Spirou, mais cette couverture sur laquelle il fait un peu gigolo me laisse dubitatif.

Je reviens là-dessus : c'est vrai que cette couverture correspond en fait peu à l'histoire. Elle correspondrait plutôt à une forme d'ambiance qui se dégage de cette histoire... Mais Spirou n'y est jamais accoutré ainsi, ni n'adopte ce genre d'attitude.

C'est aussi un des seuls albums post Tome & Janry où l'aspect méta est maitrisé, par ailleurs. Dans cette histoire, héros de BD est un vrai métier et Spirou y croise d'autres héros-titres, c'est plutôt marrant et bien fait. Mais c'est aussi un déclencheur pour ce qui deviendra des récits courts qui donneront Supergroom. On aime ou non...

[Pigling-Bland]

Cette idée qu'un milliardaire puisse acheter Spirou, l'homme, comme on rachète une maison d'édition est absolument remarquable. Et il y a des séquences complètement déjantées dans cet album, en particulier la poursuite contre Spirou et Spip et le moment ou Spirou se rend compte que s'il est si vite repéré c'est à cause de la boucle d'oreille dont a été affublé Spip et qui est en fait une balise... La réplique de Spip lorsque Spirou lui arrache la boucle d'oreille alors qu'ils sont en pleine fuite est excellente.
C'est aussi un rôle très intéressant pour Seccotine, qui n'est pas sans rappeler son rôle dans Le dictateur et le chmampignon.

[heijingling]

C'est aussi un des seuls albums post Tome & Janry où l'aspect méta est maitrisé, par ailleurs. Dans cette histoire, héros de BD est un vrai métier et Spirou y croise d'autres héros-titres, c'est plutôt marrant et bien fait. Mais c'est aussi un déclencheur pour ce qui deviendra des récits courts qui donneront Supergroom. On aime ou non...

Tu viens de me faire comprendre ce qui me gène le plus chez Vehlmann et Yoann, leurs albums sont plus un discours sur Spirou que des histoires de Spirou. Je n'ai rien contre, et même j'apprécie que se trouve un commentaire de l'œuvre au sein de celle-ci, Chaland essentiellement l'a fait, et dans une moindre mesure Tome et Janry, et parfois Fournier et Franquin (Panade), mais cela ne doit pas se faire au détriment de l'œuvre, travers dans lequel Tome et Janry étaient déjà tombés vers la fin.

[Zig Homard]

C'est aussi un rôle très intéressant pour Seccotine, qui n'est pas sans rappeler son rôle dans Le dictateur et le chmampignon.

Y&V ont remarquablement repris Seccotine, égale à elle-même, mais aussi plus "altruiste" (comme ici).